Et reprend là encore un peu de mon âme. Nous avons encore tant de choses à nous dire.
Libère mes sons qu’ils soient enfin audible, plus de râles, plus de cris je veux des hurlements de vie.
C’est l’histoire d’essences qui se mélanges, deux trois, quatre ou plus, je m’en fiche tant que le plaisir me vertige.
Liquide amer et après qui coule dans ma gorge trop souvent fermé, donne à mon sang un liant qui évite l’effort.
Souffre que je manque de toi, séculaire découverte encore une perfidie des gens de l’Albion!
Je veux être la bourgeoise en trance que l’on frôle et jamais ne sent, je veux être le plaisir de l’étincelle du saphir, la Bigben londonien qui transperce ton âme quant toi aussi ami ou amant tu te sera laissé porté par l’éthanol du juniperus.
Je rend grâce à Franciscus Sylvius sans lui les vertiges n’excite pas, sans lui le liens serait moins fort peut être, et ma fantasy 19eme moins réelle.
Merci à la Guyenne d’avoir gardé trace de ces offrandes hollandaise à la nouvelle terre des Oranges, et de me l’avoir à nouveau découvert.
C’est dommage de le rendre privé. J’aime bien le lire comme j’aimais lire l’ancien; Beaucoup de talent et de sensibilité.
blog a nouveau public. merci de ce gentilbmessage