Au bord du gouffre

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Toc toc ça frappe là dans le crâne
Et puis la porte qui eclate
Et hop je sombre
Trop de conscience même en science
Ruine mon âme
La solitude. Mes amertumes.
Je vois les signes!
Et là je glisse…et quant

Et quant je suis au bord du gouffre
J use des plantes
De leurs essences
Qui me décollent enfin du sol
Au bord du gouffre
Une pilule
Mes sens pullule
Dans leurs jouissances
Au bord du gouffre
Plein d ethanol
Et tout mon corp chavire et danse!

Crick crack l amours verrouillent tout
That is not enough ! mon âme est folle
Là je m étend. Point de sommeil.
Refaire le film des souffrances!
Trop de consciences. Trop de compteurs.
Neurones actif et sans sommeil.

Et quant je suis au bord du gouffre
J use des plantes
De leurs essences
Qui me décollent enfin du sol
Au bord du gouffre
Une pilule
Mes sens pullule
Dans leurs jouissances
Au bord du gouffre
Plein d ethanol
Et tout mon corp chavire et danse!

Enfin je meurs…

Le vent

Je n’aime pas le vent!

Le vent c’est la tempête, le vent c’est la folie qui me transperce chaque fois un peu plus fort…

J’ai toujours peur que le vent mette mes neurones en vrac et que je saute de bien trop haut sans pouvoir me rattraper.

Le vent apporte le mauvais, la maladie. C’est par le vent que la mort voyage, c’est le vent qui emporte mes joies et bonheurs.

C’est le vent qui balai mon enfance de chaos! c’est lui qui ramène les douleurs passées.

C’est lui qui me rappelle que je ne suis que de passage, c’est le vent qui me cris à l’oreille « le jour décroit la nuit augmente! souviens toi! »

Je sais que je partirais un jour de grand vent, Juste être sur de faire la nique au destin pour de bon…la folie des zephires incontrôlés emmènera mon âme plus loin, plus haut pour m’éloigner pour de bon des enfers terrestre…mais pour l’instant même si j’ai la finitude chevillé au corps, les poids lourd de l’amour me tiennent encore debout fixé au sol!

Je sais lutter contre les vents contraire de mon âme…j’apprend à regarder tourner les éoliennes créatrices d’énergie par le chaos des masses d’air instable!

sans ataraxe…

38ans d errances. 38ans de questions…38ans a errer comme une bête à me heurter aux murs d incompréhensions. 38ans que je divague entre les sommets et les abîmes…
38ans que je lutte contre mon âme et mes fantômes.
Et puis je réalise….je comprend que je peu…je suis debout encore. Prêt à lutter pour aimer . Prêt à jouir des heures qui me reste.
38ans pour passer de la douleur à un état de recherche de la plénitude…les philosophes grexs appellent ça le stoicisme…alors plus d arataxe ni de xanax meme sij aime les mots en X. Ils frappent la tête. Écorchent les bouches…touchent mon  âme par la croisée de leurs lettres…je flotte un peu sur les eaux calme du temps. Le radeau m amène désormais là où je veux.
Pas d argent…pas grave. Pas le temps…pas grave. Pas d amour…je meurs!
Alors c’est décidé je vivrais tant que j aime…le cas échéant je partirais…plus tôt que prévu je le sais…et toujours conscient du départ en attendant tant que je sais vivre ma douleur je reste avec vous jusqu au prochain anniversaire !

KRITI

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Des dédales de Minos ou 4000 ans m ont frappés aux larmes je vous écrit.
Ici tout est calme et douceur. Le soleil accable les corps mais libère mon âme.
Je flotte dans les eaux pure des lagons…enclin à goûter toutes les douceurs de l’île je glisse vers cette envie de goûter les douceur de l existence…le doute et le vide m étouffe moins…même si l apaisement ne sera jamais miens la Crête prend possession de mon coeur pour tenter d apaiser mes douleurs.
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Les veines se gonflent. Le désir est là à chaque secondes…
Je veux vivre ce plaisir estival à jamais. ..mais ce n est pas possible la bête s agite encore en moi et me rappel que la vie n est pas faite que de repos et de plaisirs et que l autre peut encore blesser. ..alors je profite de cette parenthèse pour aimer comme j aimerais être aimer.
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