Je suis un non sens, une erreur, un anachronisme.
Une contradiction faite de chair et d’os. A l’interieur de moi coulent des rivières d’émotions qui m’ont souvent fait mal.
Et un jour je les ai vu au travers du miroir des autres. cela aide à les connaitre si je ne les gère pas encore!
Pour me situer, je suis né quelque part au XIXème siècle, fils caché de Virginia Woolf et Verlaine, mon grand père était Baudelaire… J’ai été élevé par Hugo et ouvert aux sens par Oscar Wilde un soir d’errance.
Je suis un fantôme emprisonné au XXI ème siècle…perdu parmi mes sens qui appellent toujours à plus et mes pensés qui me tirent vers le haut! le vertige est ma raison de vivre.
Une alcove secrète renferme mes dires caché, au fond dans le velour se couchent me pensée onanique quotidienne, l’appel de la chair, de l’autre, de mon Amour pour lui unique et qui restera éternel . Certain y rentre parfois, ils sont rare, si ils veulent y resté je suis sans pitié tant je leurs demande d’effort pour cela. Qu’ils se battent je compte le points!
Cette alcove si tu veux y rentrer il te faudra gouter mon sang pour comprendre le gout de l’acide qui coule dans mes veines, celui qui à chaque heures que Dieu me donne de vivre me transperce l’âme, transfigure mon corp d’envie de vivre alors que mon Coeur lui dit stop.
Sans ces regards sur moi, ces sourires quotidien que j’offre comme force de politesse, Dieu que mon monde serait noir.
Je ne crois pas en la bonté de l’âme humaine, mais j’aime les autres de plus en plus fort.
Je n’aime pas la vie , mais j’ai peur de mourir.
Je n’aime pas les enfants car j’en suis moi même un.
Je ne suis pas un Homme fort; alors que lorsque je parle on m’écoute.
Je suis un non sens.
J’écris en voulant parlé de moi et je regrette…de l’avoir fait…trop tard j’assume tu me lis…
Dieu que cet écrit est redondant… mais à l’image de mon humeur de ce jour, vide gris et sans envie si ce n’est que de le serrer fort dans mes bras et lui faire l’Amour.
…je me tais et je vais continuer à aimer, c’est mieux.